Le 26 septembre à Argeles aura lieu le départ de la Marche Nationale pour la Palestine. Celle-ci arrivera à Paris le 18 octobre où l’AFPS et le Collectif National Palestine pour une paix juste prépare une grande Convergence pour la Palestine.

Le 26 septembre à Argeles, nous organisons une veillée pour la Palestine sur la plage des Pins, devant la stèle aux réfugiés, de 19H à 22H. Cette veillée sera chargée de symboles : à l’horizon devant nous,  il y aura la souffrance de Gaza, de l’autre côté de la méditerranée, et derrière nous, la stèle au réfugiés de la Retirada. Les barbelés derrières lesquels  on avait enfermé les républicains catalans et espagnols nous rappelle  l’exil de ce peuple palestinien chassés de sa terre à deux reprises, en 1948 et en 1967.

Nous aurons la joie d'accueillir à  Argeles  Mohammed de Gaza (que certains d'entre nous avaient  écouté et soutenu à Narbonne le 4 octobre).

       Pour la réussite de cette soirée Palestine du 26 septembre, tous les talents sont sollicités: chanteurs, poètes, musiciens, lecteurs, comédiens, sculpteurs sur sable.

        Venez en famille, soyons le plus nombreux possible pour faire savoir au peuple palestinien que notre solidarité ne faiblit pas et que nous sommes déterminés à monter à Paris le 18 octobre pour dire à notre  notre gouvernement :

-   Suspension de l’accord d’association entre l’Union européenne et Israël !

-    Embargo sur le commerce des armes avec l’état d’Israël !

-    La Cour Pénale Internationale devra juger les responsables de crimes de guerre !

-     Boycott, Désinvestissement, Sanctions envers l’état d’Israël !

-     Stop au blocus de Gaza ! Stop à la colonisation et à l’occupation militaire  !

-     Application de toutes les résolutions des Nations Unies dont la résolution 194 sur le droit au retour des réfugiés palestiniens !

-    Et non à la repression contre les tous les militants du soutien à la Palestine !

 

Pour plus d’informations : Association France Palestine Solidarité 66

Tel : O4 68 73 78 47

Jeudi 4 septembre 2014 à 18h30

Maison des services, quartier St. Jean St. Pierre

Narbonne

Durant cinquante jours, la bande de Gaza a été quotidiennement bombardée. Les victimes se comptent par milliers, les destructions par centaines ! 2138 Gazaouis dont plus de 500 enfants y ont trouvé la mort ! Près de 800 habitations, écoles, hôpitaux, mosquées ont été entièrement détruits !

Ø     Nous ne pouvons pas oublier que depuis huit ans, cette même bande de Gaza subit un blocus, illégal et inhumain

Ø     Nous ne pouvons pas oublier que la colonisation et la répression s’intensifient en Cisjordanie…

Comment vivre dans ces conditions ?

Comment espérer en une paix juste et durable ?

Qu’attendre de la communauté internationale ?

Ces interrogations et d’autres seront au cœur du débat auquel nous vous invitons autour d’un Palestinien de Gaza, qui témoignera de la vie des populations ces dernières années ( avec le blocus) et ces derniers mois (sous les bombardements de l‘armée israélienne)…

Entrée libre

Collectif narbonnais pour une paix juste et durable entre palestiniens et israéliens

L’armée israélienne a repris ses bombardements sur la bande de Gaza depuis la rupture du cessez-le-feu qui a duré à peine 10 jours.

Le peuple gazaouis déjà traumatisé par un mois de pilonnage est à nouveau plongé dans la terreur et la liste des morts et blessés, dont le ¼ sont des enfants et adolescents, continue de s’allonger.

Ce n’est pas le moment de l’abandonner et avec lui leur droit de vivre en paix,  dans un Etat libre et souverain aux côtés de leurs voisins israéliens et ceux des autres pays de la région.

C’est pourquoi le « collectif carcassonnais pour une paix juste et durable entre palestiniens et israéliens » appelle à une nouvelle manifestation le samedi 23 août à 17 heures à partir du portail des Jacobins à Carcassonne, pour :

• Un arrêt de l’offensive israélienne sur Gaza et un cessez-le-feu durable
• Une aide et un soutien conséquent à la population plongée dans une situation catastrophique
• La levée du blocus inhumain imposé aux gazaouis depuis 7 ans
• La libération des prisonniers politiques
• La reconnaissance pleine et entière de l’Etat de Palestine
• Des sanctions politiques et économiques contre Israël jusqu’au respect par cet Etat du droit international

Des milliers d'Israéliens ont manifesté dans la soirée du samedi 16 août à Tel-Aviv pour appeler leur gouvernement à reprendre les négociations de paix avec l'Autorité palestinienne de Mahmoud Abbas. Cette manifestation est la plus importante du « camp de la paix » depuis le lancement de l'opération israélienne à Gaza le 8 juillet, faisant près de 2 000 morts palestiniens et 70 du côté israélien. Une trêve est actuellement observée par Israël et le Hamas palestinien, qui contrôle Gaza, en attendant l'issue de négociations au Caire.

De très importantes forces de police étaient déployées autour de la place Yitzhak Rabin (du nom de l'ex-premier ministre assassiné), dans le centre de Tel-Aviv, où s'est déroulé le rassemblement afin d'éviter des heurts avec des contre-manifestants d'extrême droite. La manifestation a été organisée par le Meretz, un parti d'opposition de gauche, la Paix Maintenant, une ONG hostile à la colonisation israélienne dans les territoires palestiniens, et Hadash, le parti communiste.

« Cela [la guerre] ne finira pas tant que l'on ne se parlera pas », pouvait-on lire sur une banderole. « Juifs et Arabes refusent d'être ennemis », « Oui à une solutionpolitique », était écrit sur des pancartes brandies par les manifestants.

« UNE GUERRE QUE NOUS POUVIONS ÉVITER »

Les intervenants ont dénoncé le gouvernement de Benyamin Nétanyahou, accusé d'avoir refusé de négocier avec le président de l'Autorité palestinienne, Mahmoud Abbas. « Le gouvernement de Nétanyahou n'a fait qu'affaiblir Mahmoud Abbas etrenforcer ainsi le Hamas », a déploré Nitzan Horowitz, un député du Meretz. La dirigeante de cette formation, Zehava Galon, a appelé à la démission du premier ministre. « Il a échoué aussi bien pour la sécurité que pour la paix, il doit partir », a-t-elle lancé en accusant M. Nétanyahou d'avoir « entraîné Israël dans une guerre que nous pouvions éviter ».